L’autopositionnement : analyse des candidatures 2022

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L’autopositionnement : analyse des candidatures 2022

En 2022, 2 587 candidats ont été enregistrés dans le cadre de la procédure régionale d’autopositionnement (sur un total de 2730 candidatures), soit 6 % du volume global tous modes de prescriptions confondus.

Le second semestre, en totalisant deux fois plus de candidatures libres que le premier, révèle la montée en charge de ce nouveau dispositif. Un tiers des candidatures d'autopositionnement cible principalement l’HSP-1er niveau de qualification, contre un quart des candidatures tous modes de prescription confondus.

23 % des candidats autopositionnés sont non inscrits à Pôle emploi (contre 16 % tous modes de prescription confondus). Plus de 50% ont entre 30 et 50 ans (contre 44 % ). Un tiers ne possède aucun diplôme contre près de 20 % de l'ensemble des candidats.

Signe de l’attractivité des formations néo-aquitaines, les candidats autopositionnés résident plus souvent dans une autre région ( 8 % contre 1 % tous candidats confondus). Les formations convoitées portent alors essentiellement sur le Génie civil-construction et l’énergie-électricité, domaines surreprésentés quelle que soit l’origine géographique des candidats autopositionnés. Ces derniers sont aussi plus mobiles, car plus rarement originaires du département de formation (17% sont mobiles contre 6% pour l'ensemble des candidats).

Leur parcours d’accès à la formation apparaît linéaire : hors HSP, les candidats convoqués sont plus nombreux à se présenter à l’entretien (près de 90 % contre 85 % tous modes de prescription) et à être retenus (plus de 80 % contre 75 % ).

Un candidat autopositionné a la possibilité de solliciter l'accompagnement d'un professionel pour ses démarches (2 % l'ont finalement choisi ).

Lire l'étude de Cap Métiers (OREF).

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