Emploi et insertion professionnelle

Les salariés en activité en 2013 et présentant une santé altérée sont 83 % en emploi trois ans plus tard

Le 3ème plan santé au travail place la prévention de la désinsertion professionnelle liée à des problèmes de santé et le maintien en emploi des salariés à la santé fragile parmi les priorités de l’action publique.

Par Cap-métiers

ARCHIVE

Cette actualité est archivée depuis le 17/06/2021, elle peut néanmoins rester valide.

La Dares publie son analyse et étudie les liens entre les actions de prévention et le maintien en emploi des personnes à la santé fragile.

On notera que les salariés en emploi en 2013 et présentant une santé altérée sont 83 % à être actifs trois ans plus tard, contre 89 % des personnes en bonne santé.

Les plus diplômés et les fonctionnaires ont plus de chances de se maintenir en emploi malgré une santé altérée que les salariés moins diplômés ou en contrat de droit privé.

Peu d’interruptions de carrière pour inactivité, de bons rapports sociaux dans son travail ou les salariés ayant bénéficié d’une visite auprès d’un médecin du travail sont des facteurs favorables au maintien en emploi des salariés à la santé altérée.

Lire l'analyse