Portraits de la filière viti-vinicole en Lot-et-Garonne et de la filière céréales en Nouvelle-Aquitaine

Emploi et insertion professionnelle

Portraits de la filière viti-vinicole en Lot-et-Garonne et de la filière céréales en Nouvelle-Aquitaine

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La Draaf publie deux nouvelles études : la filière viti-vinicole lot-et-garonnaise et la filière céréales et oléoprotéagineux en Nouvelle-Aquitaine.

Quatrième filière agricole, avec près de 12 % de la valeur agricole du département, la viticulture de Lot-et-Garonne rassemble 6 200 hectares de vigne. C'est le 28ème département viticole français, rassemblant 1 % du potentiel national. Depuis dix ans, au prix d’une importante restructuration, le foncier viticole se stabilise, le bio se développe et le marché s’assainit.

De la vigne à la première mise sur le marché, l’ensemble de la filière regroupait, en 2015, en Lot-et-Garonne, 400 établissements employant 1 230 personnes, 720 salariés et 510 non-salariés. Près de deux tiers des emplois sont agricoles.

Concernant la filière céréales et oléoprotéagineux, la Nouvelle-Aquitaine est la deuxième région française en termes de surfaces de céréales et d’oléoprotéagineux (COP). La filière s’appuie sur un réseau dense d’unités de collecte et de transformation et dispose, pour ses exportations, de cinq sites portuaires. Elle génère environ 45 000 emplois en tenant compte de la production et des première et deuxième transformations.

Cinq départements (la Vienne, la Charente-Maritime, les Deux-Sèvres, la Charente et le Lot-et-Garonne) concentrent 72 % des surfaces. Près de 280 entreprises ont une ou plusieurs activités de collecte, de stockage, d’exportation et de première transformation en Nouvelle-Aquitaine.