L'insertion profesionnelle des diplômés 2016 de l'Université

Emploi et insertion professionnelle

L'insertion profesionnelle des diplômés 2016 de l'Université

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L'insertion professionnelle des diplômés de 2016 est satisfaisante selon l'enquête du ministère de l'Enseignement et en progression par rapport à celle des diplômés de 2015.
Globalement les conditions d'emploi s'améliorent par rapport à celles de leurs prédécesseurs. Les taux d'emploi stable et des temps pleins ainsi que celui d'emploi des cadres et des professions intermédiaires augmentent mais diffèrent selon les domaines disciplinaires, tout comme les conditions salariales :
  • Pour les diplômés de DUT, les conditions d'emploi s'améliorent, particulièrement pour les étudiants en STS. Toutefois les inéganités femmes-hommes persistent sur l'occupation des postes et les inégalités salariales se creusent à 30 mois entre les diplômés des différentes disciplines. Sur l'analyse des 3 niveaux de formation, les diplômés de DUT sont les plus nombreux à continuer leurs études après l'obtention du diplôme (90% d'entre eux contre 37% des diplômés de licence professionnelle et 35% des diplomés de master).
  • Pour les licences professionnelles, l'insertion est très rapide 18 mois après l'obtention du diplôme (sauf pour les diplômés en sciences humaines et sociales). Mais elle stagne ensuite, voire recule, en particulier chez les diplômés en Droit, économie et Gestion. C'est le domaine des sciences et technologies qui bénéficie de conditions d'emploi les plus stables. Si la plupart des diplômés considère une bonne adéquation entre le niveau de formation et le poste occupé, il remettent en question celui de leur rémunération.
  • Pour les diplômés de master, l'insertion professionnelle à 18 et à 30 mois progresse mais fluctue selon les disciplines. Et si les conditions d'emploi s'améliorent pour tous, elles ne sont pas les mêmes selon le domaine de formation. Comme les diplômés de licence professionnelle, les masters jugent qu'ils sont employés à leur juste niveau de formation et de missions professionnelles mais 35% pensent qu'ils ne sont pas assez payés. 
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