La filière équine concerne en France environ 66 000 personnes en activité principale (dont 47 000 producteurs et utilisateurs du cheval) et une activité secondaire pour 80 000 autres personnes en activité secondaire, en particulier en élevage et en points de vente PMU.
C'est ce qu'indique l’Observatoire métiers, emploi et formation de la filière équine de l'Institut français du cheval et de l'équitation (IFCE), dans sa nouvelle estimation 2018 du marché de l’emploi équin en France.

Depuis la dernière étude en 2013, sur le secteur "Equitation", 1er employeur de main d'oeuvre, on observe une augmentation de 42% d'actifs/dirigeants/gérants mais une baisse de 7% de salariés. Le nombre de maréchaux-ferrants a progressé de 20% ainsi que les autres prestataires de soin tels que ostéopathes équins, les dentistes équins, les praticiens indépendants en “soins-massages” ou en “comportement” et les podologues de 50%.

Malgré les plus de 25 000 actifs qui travaillent dans les paris hippiques aux arts et média, l'étude annonce une baisse de 20% d'entreprises spécialisées dans le spectacle équestre.
Le secteur de l'équipement reste "un poids lourd des fournisseurs hippiques" en terme d'emploi car on constate 20% d'augmentation en terme d'emplois depuis 2013.
Enfin, près d'un emploi sur 10 est consacré à l'organisation et au développement de la filière.

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